État | terminé |
Responsable | Jean Marc PERRIER |
Description | Au sein de la population féminine de tout âge vue en médecine générale, 10% des femmes portent une protection légère ou plus importante. L'incontinence urinaire de la femme reste encore un tabou et elle est trop souvent vécue comme une fatalité, si bien que moins d'un tiers des personnes atteintes d'incontinence osent s'en ouvrir à leur médecin. L'ancienneté des troubles constatés lors des enquêtes en médecine générale (plus de un an dans 77% des cas et plus de cinq ans dans 34% des cas) atteste certainement d'une importante carence de dépistage alors que des solutions existent pour chaque problème spécifique. Dans 84% des cas, les personnes dépistées sont d'ailleurs d'accord pour "faire quelque chose" . La prise en charge de l'incontinence urinaire est souvent réalisable par le médecin généraliste : Une démarche simple (interrogatoire et examen clinique) permet dans la plupart des cas de poser un diagnostic précis et de proposer un traitement adapté. Ainsi, dans le cas de l'incontinence urinaire à l'effort isolée, le généraliste peut prescrire une rééducation sans autre examen. |
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